Le rappeur Snoop Dogg qui se balade pour commenter les compétitions pour NBCUniversal, des interviews de sportifs avec Bugs Bunny sur le toit de l’hôtel Raphaël pour Eurosport, les plateaux de la chaîne numérique de France Télévisions animés par des streamers comme Rivenzi « à la Twitch »… Décidément, les diffuseurs des Jeux n’ont pas manqué d’inventivité pour élargir les publics et surtout reconquérir les jeunes.Un défi qu’ils partagent avec les organisateurs. Ce n’est pas un hasard si le Comité international olympique (CIO) a voulu la breakdance et le skateboard aux JO de Paris. Mais plus généralement, il y a tellement d’exploits sportifs et de festivités, le tout dans des décors époustouflants, que les écrans débordent de ces séquences « authentiques » dont raffolent les jeunes.
Les audiences du petit écran remercient. Une étude de l’agence de talents UTA citée par Business Insider et réalisée aux Etats-Unis juste avant le début des JO auprès de spectateurs de moins de 45 ans pointait l’ampleur du problème pour les télévisions : parmi ceux voulant regarder les Jeux, près de 80 % comptaient les suivre sur les réseaux sociaux (YouTube, Instagram, Facebook, TikTok…) !
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